De quoi le gaspillage est-il le nom ?
La saison estivale est particulièrement propice à l’observation décontractée des muda, ces sept gaspillages chers aux praticiens lean.
La saison estivale est particulièrement propice à l’observation décontractée des muda, ces sept gaspillages chers aux praticiens lean.
Mais de quoi parle-t-on ? Ce respect demandé ou affiché, est-il aujourd’hui autre chose qu’un lissage superficiel des interactions sociales ?
Cela faisait un moment qu’on ne m’avait pas parlé de la fameuse résistance au changement !
Godefroy – Jean-Claude, en tant que patron d’une PME de sous-traitance, comment vois-tu les subventions à l’équipement public ?
Jean-Claude – Moi, les subventions, je les prends.
« A cheval donné, on ne regarde pas les dents », dit le proverbe. Alors pourquoi s’inquiéter quand les bonnes fées publiques se penchent sur l’entreprise, et lui permettent d’acquérir une nouvelle machine à l’état de l’art, et ainsi de suivre l’accroissement de la demande et de se développer ?
La critique la plus fréquente que j’ai entendue à propos du lean : la multiplication des liaisons entre étapes de production serait la preuve de l’inefficacité de la méthode
Dans notre environnement « VUCA » (c’est-à-dire volatil, incertain, complexe et ambigu, selon l’acronyme à la mode), il semble que chaque organisation va de crise en crise, depuis la crise COVID de 2020, qui enchaînait sur la crise des Gilets jaunes et celle des grèves de la réforme des retraites,…
Le souci du détail est-il de mise alors que nous sommes dans une période de crises globales ? Face à la crise sanitaire mondiale, à la déstabilisation stratégique de l’Europe par la guerre en Ukraine et au retour de la peur macro-économique par excellence qu’est l’inflation, à quoi peut bien servir « le travail rigoureux et détaillé de collecte de données sur la qualité et les délais, la formation au travail standardisé » – selon la définition que donne Michael Ballé du dantotsu de Nomura ?