Value, no value !
En tant que patron d’entreprise industrielle, la valeur est un concept important. Mais pas forcément si simple que cela à appréhender.
En tant que patron d’entreprise industrielle, la valeur est un concept important. Mais pas forcément si simple que cela à appréhender.
Le Muda -en oubliant d’ailleurs au passage le Muri et le Mura-[1], la chasse au gaspi… c’est comme ça que j’ai appris le Lean il y a bien longtemps
Jim Womack m’a un jour demandé : « pourquoi tu nous ressers les 7 mudas dans chacun de tes livres ? C’est pas un peu dépassé ? La pensée lean a évolué depuis !
On ne voit pas ou on ne s’intéresse pas sérieusement aux 7 gaspillages ou muda parce qu’on les regarde trop souvent par le petit bout de la lorgnette.
La saison estivale est particulièrement propice à l’observation décontractée des muda, ces sept gaspillages chers aux praticiens lean.
Dans l’une de nos usines, un de nos jeunes informaticiens s’est un jour trouvé en charge de la mise à plat et de la reconception d’un logiciel RH
Bien arrimée au front du cuisinier, la caméra révélait chaque détail de son travail. Son objectif : remplir vite et bien l’assiette du client.
Lorsque je lus cette question, ma première pensée fut “on dirait une question posée au bac ou au concours général de philosophie”, puis je me dis “mais pourquoi y aurait-il équivalence logique entre ces deux concepts ?”
Au quotidien, dans une start-up, tout doit aller vite. L’entreprise n’a pas encore la stabilité dont jouit une grande entreprise, et elle court en permanence
Je vais parler de logiciel et me poser la question de la cause commune au jidoka et au principe fondamental du “respect for people”, à savoir la complexité.