Value, no value !
En tant que patron d’entreprise industrielle, la valeur est un concept important. Mais pas forcément si simple que cela à appréhender.
En tant que patron d’entreprise industrielle, la valeur est un concept important. Mais pas forcément si simple que cela à appréhender.
Comment amener les salariés à entreprendre un kaizen et à les motiver sans générer le “push back ” habituel sur ces sujets ?
Je vois presque toujours des grandes théories, souvent pertinentes au moment où on les énonce mais qui sont décorrélées du temps.
On me demande ce que l’on peut faire de nos jours quand sa chaine d’appro est défaillante, qu’on ne sait plus quoi livrer et comment gérer les collaborateurs qui s’épuisent et démissionnent entre deux plaintes de clients.
Julie Chevalier et Michael Ballé me demandent si je connais le livre de Nomura San sur le lean (The Toyota way to dantotsu radical improvement). Evidemment je connais. Il parait que Talleyrand a dit “Quand je me regarde, je me désole, quand je me compare, je me console ».
Pour moi, il y a six raisons principales et elles sont presque toutes techniques. Notamment quand on doit mixer les process continus (presse d’injection, centre d’usinage) et des process batch (fours de traitement thermique par exemple). La seule solution est de faire des passe-plats entre lesquels le flux peut être continu.